Saupiquet. Echec des négociations
SAINT-AVÉ (56).
Hier, en début d'après-midi, les salariés de l'usine Saupiquet à Saint-Avé ont rencontré la direction locale pour tenter de négocier une nouvelle fois les termes de leur départ après la fermeture de l'usine à la fin du mois de juin. «Un véritable dialogue de sourds», selon un représentant de l'intersyndicale. «Aujourd'hui, on nous propose une prime de 3.000euros». La direction avait déjà proposé, en plus de la prime de «bonne fin» de 5.000euros, d'augmenter les salaires de 100% pour les deux mois restant à travailler. Les salariés, qui jusque-là réclamaient une prime de 20.000 euros, ne demandent désormais plus que 16.000 euros. Après ce nouvel échec des négociations, les salariés ont décidé d'aller faire entendre leur colère sous les fenêtres de la direction et de poursuivre leur mouvement de grève.
Hier, en début d'après-midi, les salariés de l'usine Saupiquet à Saint-Avé ont rencontré la direction locale pour tenter de négocier une nouvelle fois les termes de leur départ après la fermeture de l'usine à la fin du mois de juin. «Un véritable dialogue de sourds», selon un représentant de l'intersyndicale. «Aujourd'hui, on nous propose une prime de 3.000euros». La direction avait déjà proposé, en plus de la prime de «bonne fin» de 5.000euros, d'augmenter les salaires de 100% pour les deux mois restant à travailler. Les salariés, qui jusque-là réclamaient une prime de 20.000 euros, ne demandent désormais plus que 16.000 euros. Après ce nouvel échec des négociations, les salariés ont décidé d'aller faire entendre leur colère sous les fenêtres de la direction et de poursuivre leur mouvement de grève.