69, année érotique, 2011, année des casses burnes. Après Luc Brami, le CMB de Jean Denis, on fini l'année en beauté : sophie de Menthon du MEDEF
"Tout ce qui est outrancier est insignifiant. C'est parce que je me
préoccupe des enfants exploités et malheureux que je parle du travail
des enfants."
Madame de Menthon qui hausse le ton et qui prétend m'insignifier. Ben ce qui viens va pas lui plaire à la pauvre victime d'un gueux acariatre et vindicatif (ça va de soie pour la bourge)
Sacher madame la bourgeoise d'ou je viens. Je viens du tas de fumier ou je pissais et chiais (oui je m'excuse de ces contingences).
A six ou sept ans madame la suffisante je savais ce qu'était traire une vache (à lait, pas une dinde), oui je savais aussi nettoyer la crèche (pas le petit jésus, le fumier). Par chez moi Madame et mes parents sont encore là pour vous renvouer à vos fantasmes on ne rigolait pas.
Quand une andouille se permet d'écrire que ce que j'écris est insignifniant, permettez Madame que au dela de l'indigence de votre propos je relève une chose : Je ne suis pas plus psychologue pour chiens et chats que psychologue pour patronne en détresse amoureuse du travail forcé pour les enfants.
Moi aussi j'ai mon partronat dans la misère. Désolé de ne pas vous accorder le temps que j'ai accordé à mes brebis (oui j'ai aussi élevé des brebis. Elles bèlaient certes), mais voyez vous, je me suis pris d'affection pour les hauts dignitaires du CMB. Considérant que je n'ai pas d'enfants et par conséquent pas d'esclaces, je ne peux me disperser.Je m'en excuses, mais comme vous avez vos pauvres, comprenez ma chère Shophie que j'ai mes très riches à moi aussi. Prenez aussi en compte (langage assez lour et bourratif de mes riches) que ces cons ce sont foutus dedans : déboutés et 500 euros dans la gueule (oui, j'en conviens la somme est ridicule hein... hi hi) pour une sombre histoire diffamation. Que voulez vus ma chère Sophie, mes riches à moi sont cons mais turbulents...
Je sais, je risque là de te toucher où cela fait vraiment mal. Et là je vais te tutoyer. Si tu crois m'impressionner par tes Notat qui relève de tes fantasmes, je me permets moi simple plouc de te dire que si tu te sens blessée par mes propos et que pour en rajouté une couche tu te sent des affinité avec Jean Pierre Denis le fracturé social Chiraquien quej'ai pris sous mon aile, je n'y vois pas d'inconvénient.
Contrairement à toi et Jean Pierre Denis, j'ai au moins le mérite de me battre seul. Financé uniquement par mes idées qui comme la vérité te défrise : UN BAC MOINS DEUX QUI VIENS DIRE QUE DE MENTHON EST POUR LE TRAVAL DES ENFANTS...
En fait c'est quoi qui t'emmerde ? Que je sois bac moins deux ou que le travail des enfants que j'ai connus (sans l'esclavage) et que je n'ai pas aimé, c'est quoi qui te dérange ma grande SOPHIE...
PZ : malgré mon langage populaire et mes manières qui me poussent à serrer la main de ceux qui puent parce que pas lavés depuis des mois, ton odeur et l'odeur de ta loghorrée m'est insuportable... Que veut tu, c'est comme ça et pas autrement. Tu n'aimes pas les gueux, souffre et souffre encore que les gueux te CONCHIENT.
Sans te saluer, sachant que pour faire peuple tu bavasse sur les forum. Laisse tomber tu est juste pathétique, risible et pour tout dire à la hauteur ou je t'avais calculée fausse et septique.
Bises et bon Noël à tes amis riches et dès que je publie, je te promet de lire ton long très long plaidoyé pro domo (en plus, j'ai pas fais latin à l'école et j'arrive à placer une citation, un jour je ferai dugland et dugland sous le chène du MERDEF !)... Pfff, tu me fais bicher ma très chère et crois mois que les bourrins à je vais me faire un plaisir de transféré vont être mort de rire...
Le rire ne tue pas, certes. Mais quand même : Luc Brami le sérial licencieur;JP Denis, l'homme qui vaut 615 000 au CMB et toi pout finir l'année, c'est excelent. Moi qui n'existe pas, vous me fabriquez... Pour mes cinquante balais en MARS, je trouve ça magnifique.
Bises encore ma grosse et et je te fais un gros copié/colé
Missel
Bonjour
Sophie de Menthon nous a fait parvenir la réponse suivante, que nous publions bien volontiers:
«Oui je suis libérale, je prône l'éthique dans les affaires et la responsabilité individuelle et cet acharnement est infondé...
Tout ce qui est outrancier est insignifiant. C'est parce que je me préoccupe des enfants exploités et malheureux que je parle du travail des enfants.
Je suis proche de l'UNICEF et j'ai organisé un colloque avec Jacques Hintzy, son Président, je soutiens ses actions, comment pourrait-il en être autrement ?!
Renseignez-vous et faîtes plutôt quelque chose au lieu de cracher du venin.
Même s'il est choquant de ne pas se prononcer unilatéralement contre une interdiction absolue du travail des enfants, c'est pourtant une position réaliste. On ne peut supprimer ni interdire ces pratiques du jour au lendemain: supprimer le problème n'est pas le régler.
L'UNICEF rappelle qu'elle "n'est pas opposée au travail que les enfants peuvent effectuer, en vue de soutenir leur famille, tant que ce travail ne nuit pas à leur santé, à leur bien-être et à condition aussi que cela ne les empêche pas d'aller à l'école et de profiter de leur enfance."
Ne soyons pas naïfs, face à des situations de pauvreté extrême, certains parents demandent à leurs enfants de travailler malgré leur jeune âge, pour subvenir aux besoins de la famille tout simplement.
L'objectif est d'éradiquer complètement le travail des enfants mais cela ne se pourra se faire du jour au lendemain...
Il faut instaurer une démarche de progrès et faire évoluer les mentalités.
Ainsi grâce aux centres de formation et d'éducations de l'UNICEF et de ses partenaires, les enfants s'instruisent et passe un peu moins de temps à travailler.
D'habitude je ne réponds pas à la calomnie mais ce sujet me tient trop à cœur pour laisser passer.
Prétendre que je suis favorable au travail des enfants est d'une mauvaise foi honteuse!
Nota : je ne relève même pas toutes les erreurs me concernant.»