D’où viennent la vitalité physique et les moments d’absence intellectuelle notre souverain d’opérette?

Publié le par Carland

de Michel MENGNEAU

J’avais déjà fait part de ces remarques à plusieurs reprises. Mais, par les temps qui courent, il n’est pas inutile de les relire pour tenter, dans la mesure du possible, du moins si cela est possible, de cerner le pourquoi de l’agitation constante de l’énergumène qui se prend pour César. Je ne plagierais pas Clémenceau qui en guise d’éloge funèbres pour Félix Faure qu’il ne pouvait pas blairer, s’écria : « Il se croyait César et il est mort Pompée ». Non pas que je doute des talents de sa grande bringue « mumureuse », mais comme il est souvent absent il sera plutôt pompé par les affres de l’impatience qui le mèneront au bord du gouffre….

Lors des dernières présidentielles, je m’étais interrogé pour savoir comment les candidats pouvaient tenir le coup en courant dans tous les sens afin de remporter la course à l’Elysée. Naturellement le dopage m’était venu à l’esprit, d’autant que celui qui gagna avait fait preuve d’une suractivité douteuse. Une fois son triomphe officialisé, on aurait pu croire qu’il aurait fait preuve d’un peu de quiétude. Que nenni, il est encore plus surexcité et agité qu’auparavant. Y-a donc un truc ! Cependant…

Sarkozy, cet homme est fatigué ! Les cernes sous les yeux, le creusement des rides, des propos indécents et des rictus incontrôlés sont les témoins de la mauvaise santé du personnage. On a longtemps pensé à un abus de céciliate. Mais ce médicament sous forme de pilule douce amère était trop inconstant pour être totalement incriminé. D’ailleurs il a abandonné ce genre de prescription. Depuis il utilise des lampes à ultraviolet pour sembler toujours en forme. Cela se voit, du moins le fait-il voir dans tous les médias, il est de plus en plus bronzé. Mais ce n’est pas le fait du hasard, au su au vu de tout le monde il s’offre des séances de bronzage avec une grande bringue « murmureuse », l’effet est incontestable « Car l’a Bruni ».

Pourtant çà ne suffit pas…

Car le regard parfois terne, suivie de période où l’on constate que c’est celui d’un halluciné, laissent à croire qu’il prendrait plutôt des drogues plus fortes et de façon plus régulière que de la céciliate périmée. Nous n’irons pas jusqu’à prétendre qu’il s’approvisionne en produits auprès du cartel de Medellin surtout après son douteux vyage au Mexique, se serait probablement exagéré. Quoique, dans le monde qui est le sien, la séparation avec des milieux peu recommandables, mais aux chiffres d’affaire non négligeables, n’est pas toujours très bien définie. Nous ne citerons que les banques, dans lesquelles circulent de l’argent blanchi, mais pas propre pour autant. Que l’on retrouve dans des paradis fiscaux qui pourraient être à l’occasion des paradis artificiels Ayant plus ou moins écarté cette hypothèse, c’est en feuilletant un dictionnaire des champignons que nous est venu la réponse sur les causes de l’état déliquescent du personnage.

Cela vient d’une pratique peu commune utilisée par ses lointains ancêtres pour s’envoyer en l’air. Dans des temps reculés, les peuplades d’Europe centrale -en Hongrie par exemple-faisaient sécher un champignon bien déterminé, puis une fois le séchage terminé ils en mâchaient des petits fragments qui les transportaient dans un monde hallucinatoire. Nous avons omis volontairement de précisé le nom de ce champignon hallucinogène de peur que des inconscients, des faibles d’esprits, accros des paroles, des façons de faire démagogiques du fac-similé de Napoléon veuillent sans discernement suivre son exemple. Nous rajouterons, pour les dissuader totalement, que ce champignon dans un premier temps donne mal à la tète, puis rend à moitié fou, et si on a le malheur de l’avaler c’est l’issue fatale en perspective.

Non content de faire des rêves d’hallucinés par des moyens qui peuvent paraître à certains naturels, il se shoote définitivement en complétant avec un machin conseillé par son frère : de la merdef., pure et dure de surcroît. On connaît bien les propriétés de ce produit, allant de paire avec la méthode utilisé précédemment il favorise la folie des grandeurs, exacerbe le goût du gain, tout cela en supprimant radicalement chez l’individu un quelconque respect du bien-être social. Moralité, y-a vraiment pas de quoi être rassuré !!

En fait, son frère n’était qu’une sorte de petit pourvoyeur. Donc pour mieux s’alimenter en Cachets, il va s’approvisionner directement chez les grands pontes regroupés en cartel, « le Cartel de Médef-ine ». Suivant l’expression consacrée, il vaut mieux s’adresser au bon dieu qu’à ses « seins ». A ce propos, ce syndicat de personnes douteuses pose problème car vis-à-vis de lui la Mafia fait figure d’entreprise artisanale. Effectivement, le soi-disant cartel est comme les religions reconnues officiellement, il a pignon sur rue, tandis que les autres sont dans la clandestinité, comme quelques religions parallèles et rigolotes qui ne sont pas en odeur de sainteté auprès du Vatican. Il va de soit que lorsque je parle de religion rigolote certaines me viennent tout de suite à l’esprit, comme la congrégation des entarteurs, par exemple.

Par contre cette association de malfaiteurs n’est nullement discriminatoire envers la gente féminine puisqu’ils ont laissé les commandes à une dame, du moins une demoiselle, Miss Parizot. Et oui, il existe encore des demoiselles dont on ne serait mettre en doute l’intégrité physique. Cela se comprend aisément, imaginez des soupirants qui après avoir fait des galipettes avec un institut de sondages ce retrouvent au matin avec des statistiques sur leurs performances de la nuit. Y-a de quoi en rebuter plus d’un ! Par contre la sondeuse est balaise, car à défaut de tripoter des choses naturelles, elle tripote les résultats des enquêtes d’opinion pour ne pas perdre son principal client, de surcroît son meilleur V.R.P. et surtout excellent avocat pour défendre la cause de son cartel.

La donzelle eut pu rester garde meubles, mais son caractère acrimonieux et profiteur en a fait une négrière. Certes elle n’est pas issue du Quai de la Fosse à Nantes d’où il y a encore deux siècles les grandes familles d’armateurs expédiaient leurs bateaux sur les côtes africaines pour récupérer de la main d’œuvre à bon marché qu’ils convoyaient alors vers les champs de coton et de canne à sucre de Louisiane et des Antilles, etc.

Mais comme ce genre de pratique est l’apanage des gens qui veulent faire fortune sur le dos des autres, la miss faisant partie de cette catégorie, elle applique donc en toute impunité se genre de principe sans aucun remord. Moralité, il va falloir travailler plus pour gagner moins, pendant que l’exploiteur aura le regard rivé sur les cadrans de la bourse en guettant le « bling-bling » des royalties résultant d’une rentabilité maximum. Rentabilité non pas obtenu à coups de fouet ainsi que ce le fut jadis, mais avec des méthodes plus subtiles et néanmoins aussi efficaces, des brimades, des menaces de licenciement, de flexibilités complètement irréalistes, pour conclure : Ferme-la, et bosse ! Il parait que cela s’appelle de l’esclavage…

Voilà où et auprès de qui l’incompétant national va puiser son énergie. Mais comme cela ne lui suffisait pas il arrose le tout avec de l’eau bénite conditionnée de lus en plus dans la pensée fangeuse de Charles Maurras.

Quand ce n’est pas auprès d’un certain Ratzinger son pourvoyeur en eau bénite, individu peu recommandable aux propos meurtriers, qui lui aussi d’ailleurs va chercher ses référence où Maurras a puisé les siennes !

Peuple lève toi !


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Publié dans Politique

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